A cinq jours du Clasico tant attendu entre l'Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain, la guerre des mots a été lancée par les deux principaux protagonistes du match aller (2-1 pour le PSG), le défenseur phocéen Souleymane Diawara et le milieu francilien Nenê. Le premier cité n'a pas oublié le comportement de son adversaire au Parc des Princes et l'attend au tournant. Mais le second est paré aux représailles.
Depuis une bonne semaine, même. Preuve que cette rencontre entre les deux clubs ennemis, si elle a un poil perdu de sa virilité depuis plusieurs années, n'a pas totalement renoncé à sa matière première : la rivalité. Car, plus que le résultat du match aller (2-1 pour Paris), c'est bel et bien l'altercation entre Souleymane Diawara et Nenê qui avait retenu l'attention des médias, le 7 novembre dernier. Excédé au match aller par les arabesques et les simulations répétées du Brésilien, le défenseur phocéen avait pété les plombs en s'essuyant volontairement les crampons sur le torse de son adversaire. Un geste qui avait valu à son auteur deux matches de suspension.
Le Sénégalais, qui avait ensuite allègrement vilipendé son martyr du soir dans le couloir des vestiaires, n'a pas oublié cet incident. Au lendemain de la défaite de l'OM face au LOSC (1-2, 26e journée), Diawara a avoué, sur RMC, attendre avec impatience les retrouvailles avec le club parisien et son stratège carioca. "Je respecte Nenê, c'est un bon joueur. Il n'y a pas de problème. Il dit que personne ne l'impressionne. Tant mieux pour lui. Il ne nous impressionne pas non plus", a ainsi déclaré le bouillant stoppeur marseillais, fidèle à son franc-parler.
Un match dans le match avant l'heure auquel son challenger, révélation de la première partie de saison mais dans le dur depuis, n'a pas manqué de répondre dans le dernier numéro de Surface, paru ce mardi : "Diawara ? Ce n'est pas mon pote. C'est un défenseur comme les autres..." Une citation illustrée en une du magazine par une pose très suggestive, où Nenê est habillé en gangsters des années 70. Le Brésilien, très en colère après sa prestation mitigée contre Montpellier dimanche dernier, est donc prêt à dégainer pour remporter son duel.
Depuis une bonne semaine, même. Preuve que cette rencontre entre les deux clubs ennemis, si elle a un poil perdu de sa virilité depuis plusieurs années, n'a pas totalement renoncé à sa matière première : la rivalité. Car, plus que le résultat du match aller (2-1 pour Paris), c'est bel et bien l'altercation entre Souleymane Diawara et Nenê qui avait retenu l'attention des médias, le 7 novembre dernier. Excédé au match aller par les arabesques et les simulations répétées du Brésilien, le défenseur phocéen avait pété les plombs en s'essuyant volontairement les crampons sur le torse de son adversaire. Un geste qui avait valu à son auteur deux matches de suspension.
Le Sénégalais, qui avait ensuite allègrement vilipendé son martyr du soir dans le couloir des vestiaires, n'a pas oublié cet incident. Au lendemain de la défaite de l'OM face au LOSC (1-2, 26e journée), Diawara a avoué, sur RMC, attendre avec impatience les retrouvailles avec le club parisien et son stratège carioca. "Je respecte Nenê, c'est un bon joueur. Il n'y a pas de problème. Il dit que personne ne l'impressionne. Tant mieux pour lui. Il ne nous impressionne pas non plus", a ainsi déclaré le bouillant stoppeur marseillais, fidèle à son franc-parler.
Un match dans le match avant l'heure auquel son challenger, révélation de la première partie de saison mais dans le dur depuis, n'a pas manqué de répondre dans le dernier numéro de Surface, paru ce mardi : "Diawara ? Ce n'est pas mon pote. C'est un défenseur comme les autres..." Une citation illustrée en une du magazine par une pose très suggestive, où Nenê est habillé en gangsters des années 70. Le Brésilien, très en colère après sa prestation mitigée contre Montpellier dimanche dernier, est donc prêt à dégainer pour remporter son duel.